AVS (1er pilier)
Retraite publique obligatoire, financée par répartition, qui assure une rente de base (environ 1’200 à 2’450 CHF par mois selon les années de cotisation et le revenu).
Préparer sa retraite est déjà une étape complexe lorsqu’on a une carrière dans un seul pays.
Mais pour les travailleurs frontaliers ou ceux qui ont eu une carrière partagée entre la France et la Suisse, la situation se complique : deux systèmes très différents, deux administrations, et parfois des démarches lourdes.
La logique française : on cotise aujourd’hui pour financer les pensions actuelles, et on bénéficie en retour d’une pension proportionnelle à sa durée et ses revenus de carrière.
En France, le système est basé principalement sur la répartition :
La logique suisse : garantir un revenu de base (AVS), compléter par l’épargne professionnelle (LPP), puis renforcer avec une épargne personnelle (pilier 3A/3B).
Retraite publique obligatoire, financée par répartition, qui assure une rente de base (environ 1’200 à 2’450 CHF par mois selon les années de cotisation et le revenu).
Prévoyance professionnelle obligatoire pour les salariés, financée par capitalisation, qui dépend du salaire assuré et de l’accumulation de cotisations.
Épargne individuelle volontaire et fiscalement avantageuse.
Lorsqu’un assuré a travaillé en France et en Suisse, il doit combiner deux systèmes très différents. Voici les principales complexités :
CARSAT en France, caisse AVS et institutions LPP en Suisse.
64 ans (FR) vs 65 ans (hommes et femmes – avec réforme progressive).
Trimestres en France vs années AVS et capitalisation en Suisse.
Les cotisations payées en Suisse ne "comblent" pas les trimestres manquants en France.
Beaucoup de frontaliers découvrent des périodes manquantes, des salaires mal pris en compte ou des oublis de caisses.
Pensions françaises imposées en France, rentes AVS et LPP imposées selon conventions bilatérales.
Un salarié ayant travaillé 20 ans en France puis 15 ans en Suisse touchera deux retraites distinctes :
Mais attention : deux dossiers doivent être déposés, dans deux pays différents, avec des délais qui ne coïncident pas toujours.
Gérer une retraite France-Suisse demande expertise et anticipation.
Sans accompagnement, le risque est :
S’assurer qu’aucune période de cotisation ne soit oubliée
Anticiper sa demande de retraite afin de ne pas perdre plusieurs mois de pension
Éviter une fiscalité défavorable en optimisant ses choix
Gérer une retraite France-Suisse demande expertise et anticipation.
En tant que frontalier poly-pensionné, vous cotisez à la fois en France et en Suisse, chacun versant une part de retraite selon vos années de travail. Les règles et calculs diffèrent entre les deux pays, d’où l’importance de bien connaître vos droits. Un accompagnement spécialisé vous aide à anticiper les démarches et à optimiser votre future retraite.
Help Frontaliers est un écosystème, conçu pour rassembler en un seul lieu tous les sujets du quotidien du travailleur frontalier en Suisse.
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